"Sex and the City", Carrie Bradshaw et ses copines ... je me revoie encore à regarder ça quand j'étais ado. C'était certes il n'y a pas très longtemps mais ça me parait loin tellement cette série est culte (la plupart des trucs culte sont vieux, voire très vieux. cf. mon idole du moment Pierre Billon).
J'ai jamais été une vraie de vraie fan de cette série, que je ne suivais pas assidûment, mais si je tombais dessus je regardais. Et je me souviens que je me sentais vachement fille, quand je regardais Sex and the City. Comme quand on se met du maquillage à 12 ans, généralement qu'on a piqué à sa mère. Vous voyez le truc ? Ben voilà, c'est ça que me faisait cette émission.
En attendant cette série, même si je n'avais vu que quelques épisodes par-ci par-là, c'était déjà dans ma tête un monument du petit écran, genre THE série of THE séries (ouai chuis un peu bilingue).
Et un jour, j'ai vu le film, Sex and the city. Et je dois reconnaître qu'un pan de ma jeunesse s'est écroulé : cette série que j'avais, je ne sais même pas trop pourquoi d'ailleurs, adulé dans ma jeune jeunesse, était une daube. J'ai cru faire une crise d'apoplexie (ou un truc dans le même genre). J'étais que quoic devant mon écran de téléviseur à me dire "non-de-dieu-non-de-dieu-non-de-dieu"(vous avez compris le topo).
Et là, un deuxième film va sortir. Pitié. Bon j'irais quand même le voir, Carrie Bradshaw reste Carrie Bradshaw mais je sais d'ores et déjà que ça sera pas pareil que quand j'étais ado, devant ma télé, ça devait être le samedi soir après la fameuse "Trilogie du samedi" (Buffy, Charmed, et autre l'Immortelle ...).
Mais bon, je me consolerais en regardant toutes les saisons, idée qui me taraude depuis un moment, et pour enfin vraiment comprendre toute l'ampleur de Carrie Bradshaw.
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